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## Tour
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tour.name = Exposition Boutik Chinois
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Button_382AC0E5_0B64_C7D3_417C_568A5EB33B9C.label = TELECHARGER
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Button_8B244A20_9875_3082_41DB_0FA3738791B6.label = VOIR BOUTIQUES
Button_8B596C6F_987D_309D_41DF_AB2EBE3B169E.label = VUES 360
Button_8B72B3AE_987B_179F_41AA_A55B9CA6FE70.label = L'EXPOSITION
Button_BA684817_989D_308D_41E2_3E8AF146253A.label = S'Y RENDRE
Button_BB93A119_9895_7085_41DD_9BAC91DA4B62.label = CREER UN COMPTE MERGIN
Button_D452B6DF_C2ED_DCD0_41AF_FCD002CF4562.label = MARMAILLES
### Multiline Text
HTMLText_1569A5F6_048F_2441_4170_59C6D17382FD.html = CHOW YUE CHUN
Le Chaudron, Saint-Denis
Parlons un peu d'inventaire...
L’inventaire des patrimoines culturels à La Réunion s’effectue officiellement depuis près d’un demi-siècle (1976) et met en évidence les éléments les plus significatifs du territoire, selon des critères d’importance historique, esthétique, architecturale, sociétale et/ou mémorielle.
Le regard ainsi porté permet alors d’envisager une meilleure prise en compte par une connaissance fine du patrimoine culturel et de son évolution dans le temps et l’espace, à travers cinq activités majeures : le recensement, l’étude, la valorisation, l’expertise et la sauvegarde.
Épicerie de quartier souvent installée à un carrefour dans laquelle on trouve les produits de première nécessité — de la boite d’allumettes à la marmite en passant par la statuette d’un ti bondié — la Boutik chinois devient de plus en plus difficilement visible de loin dans le paysage réunionnais. Elle se reconnaît non seulement à travers son architecture traditionnelle avec toit en tôle ondulée, volets en bois et peintures murales aux couleurs vives, décorées de supports publicitaires, mais aussi à travers son concept culturel et social d’économie solidaire…
Au cours des différentes opérations d’inventaire de terrain, le regard porté aux Boutiks chinois a profondément évolué : d’un délaissement en 1976 (aucune notice répertoriée sur les 434 références identifiées), elles ont été intégrées aux « bâtiments traditionnels à usage commercial » recensés 22 ans plus tard et globalisées sous le vocable d’échoppe (boutik). Ainsi 300 boutiks ont pu être identifiées parmi les 450 commerces référencés à l’époque. L’inventaire ne précise pas alors combien de Boutik chinois figurent dans cet ensemble…
Cette année, en 2021, le service régional de l’inventaire lance un inventaire participatif thématique sur les Boutiks chinois, en partenariat avec la fédération des associations chinoises. Le regard des citoyens est désormais pris en compte dans la fabrication du patrimoine.
Depuis l’arrivée de la grande distribution sur l’île au début des années 1960 et plus particulièrement depuis les années 90, la disparition des Boutik Chinois est souvent évoquée et déplorée.
Paradoxalement, les arguments qui ont motivé leur retrait au profit de la grande distribution se trouvent aujourd’hui expressément repris au nom du développement, à savoir l’importance de la proximité sociale de l’échange commercial.
Étrange destin d’une structure d’échanges humains qui après avoir été évincée de l’intérêt collectif, trouve aujourd’hui ses fondements délaissés finalement porteurs d’avenir…
TONG CHANE
Le Tampon
Parlons un peu d'inventaire...
L’inventaire des patrimoines culturels à La Réunion s’effectue officiellement depuis près d’un demi-siècle (1976) et met en évidence les éléments les plus significatifs du territoire, selon des critères d’importance historique, esthétique, architecturale, sociétale et/ou mémorielle.
Le regard ainsi porté permet alors d’envisager une meilleure prise en compte par une connaissance fine du patrimoine culturel et de son évolution dans le temps et l’espace, à travers cinq activités majeures : le recensement, l’étude, la valorisation, l’expertise et la sauvegarde.
Épicerie de quartier souvent installée à un carrefour dans laquelle on trouve les produits de première nécessité — de la boite d’allumettes à la marmite en passant par la statuette d’un ti bondié — la Boutik chinois devient de plus en plus difficilement visible de loin dans le paysage réunionnais. Elle se reconnaît non seulement à travers son architecture traditionnelle avec toit en tôle ondulée, volets en bois et peintures murales aux couleurs vives, décorées de supports publicitaires, mais aussi à travers son concept culturel et social d’économie solidaire…
Au cours des différentes opérations d’inventaire de terrain, le regard porté aux Boutiks chinois a profondément évolué : d’un délaissement en 1976 (aucune notice répertoriée sur les 434 références identifiées), elles ont été intégrées aux « bâtiments traditionnels à usage commercial » recensés 22 ans plus tard et globalisées sous le vocable d’échoppe (boutik). Ainsi 300 boutiks ont pu être identifiées parmi les 450 commerces référencés à l’époque. L’inventaire ne précise pas alors combien de Boutik chinois figurent dans cet ensemble…
Cette année, en 2021, le service régional de l’inventaire lance un inventaire participatif thématique sur les Boutiks chinois, en partenariat avec la fédération des associations chinoises. Le regard des citoyens est désormais pris en compte dans la fabrication du patrimoine.
Depuis l’arrivée de la grande distribution sur l’île au début des années 1960 et plus particulièrement depuis les années 90, la disparition des Boutik Chinois est souvent évoquée et déplorée.
Paradoxalement, les arguments qui ont motivé leur retrait au profit de la grande distribution se trouvent aujourd’hui expressément repris au nom du développement, à savoir l’importance de la proximité sociale de l’échange commercial.
Étrange destin d’une structure d’échanges humains qui après avoir été évincée de l’intérêt collectif, trouve aujourd’hui ses fondements délaissés finalement porteurs d’avenir…
LON MON POY
Les Colimaçons, Saint-Leu
Parlons un peu d'inventaire...
L’inventaire des patrimoines culturels à La Réunion s’effectue officiellement depuis près d’un demi-siècle (1976) et met en évidence les éléments les plus significatifs du territoire, selon des critères d’importance historique, esthétique, architecturale, sociétale et/ou mémorielle.
Le regard ainsi porté permet alors d’envisager une meilleure prise en compte par une connaissance fine du patrimoine culturel et de son évolution dans le temps et l’espace, à travers cinq activités majeures : le recensement, l’étude, la valorisation, l’expertise et la sauvegarde.
Épicerie de quartier souvent installée à un carrefour dans laquelle on trouve les produits de première nécessité — de la boite d’allumettes à la marmite en passant par la statuette d’un ti bondié — la Boutik chinois devient de plus en plus difficilement visible de loin dans le paysage réunionnais. Elle se reconnaît non seulement à travers son architecture traditionnelle avec toit en tôle ondulée, volets en bois et peintures murales aux couleurs vives, décorées de supports publicitaires, mais aussi à travers son concept culturel et social d’économie solidaire…
Au cours des différentes opérations d’inventaire de terrain, le regard porté aux Boutiks chinois a profondément évolué : d’un délaissement en 1976 (aucune notice répertoriée sur les 434 références identifiées), elles ont été intégrées aux « bâtiments traditionnels à usage commercial » recensés 22 ans plus tard et globalisées sous le vocable d’échoppe (boutik). Ainsi 300 boutiks ont pu être identifiées parmi les 450 commerces référencés à l’époque. L’inventaire ne précise pas alors combien de Boutik chinois figurent dans cet ensemble…
Cette année, en 2021, le service régional de l’inventaire lance un inventaire participatif thématique sur les Boutiks chinois, en partenariat avec la fédération des associations chinoises. Le regard des citoyens est désormais pris en compte dans la fabrication du patrimoine.
Depuis l’arrivée de la grande distribution sur l’île au début des années 1960 et plus particulièrement depuis les années 90, la disparition des Boutik Chinois est souvent évoquée et déplorée.
Paradoxalement, les arguments qui ont motivé leur retrait au profit de la grande distribution se trouvent aujourd’hui expressément repris au nom du développement, à savoir l’importance de la proximité sociale de l’échange commercial.
Étrange destin d’une structure d’échanges humains qui après avoir été évincée de l’intérêt collectif, trouve aujourd’hui ses fondements délaissés finalement porteurs d’avenir…
THONG HUI PANG
La Saline, Saint-Paul
Parlons un peu d'inventaire...
L’inventaire des patrimoines culturels à La Réunion s’effectue officiellement depuis près d’un demi-siècle (1976) et met en évidence les éléments les plus significatifs du territoire, selon des critères d’importance historique, esthétique, architecturale, sociétale et/ou mémorielle.
Le regard ainsi porté permet alors d’envisager une meilleure prise en compte par une connaissance fine du patrimoine culturel et de son évolution dans le temps et l’espace, à travers cinq activités majeures : le recensement, l’étude, la valorisation, l’expertise et la sauvegarde.
Épicerie de quartier souvent installée à un carrefour dans laquelle on trouve les produits de première nécessité — de la boite d’allumettes à la marmite en passant par la statuette d’un ti bondié — la Boutik chinois devient de plus en plus difficilement visible de loin dans le paysage réunionnais. Elle se reconnaît non seulement à travers son architecture traditionnelle avec toit en tôle ondulée, volets en bois et peintures murales aux couleurs vives, décorées de supports publicitaires, mais aussi à travers son concept culturel et social d’économie solidaire…
Au cours des différentes opérations d’inventaire de terrain, le regard porté aux Boutiks chinois a profondément évolué : d’un délaissement en 1976 (aucune notice répertoriée sur les 434 références identifiées), elles ont été intégrées aux « bâtiments traditionnels à usage commercial » recensés 22 ans plus tard et globalisées sous le vocable d’échoppe (boutik). Ainsi 300 boutiks ont pu être identifiées parmi les 450 commerces référencés à l’époque. L’inventaire ne précise pas alors combien de Boutik chinois figurent dans cet ensemble…
Cette année, en 2021, le service régional de l’inventaire lance un inventaire participatif thématique sur les Boutiks chinois, en partenariat avec la fédération des associations chinoises. Le regard des citoyens est désormais pris en compte dans la fabrication du patrimoine.
Depuis l’arrivée de la grande distribution sur l’île au début des années 1960 et plus particulièrement depuis les années 90, la disparition des Boutik Chinois est souvent évoquée et déplorée.
Paradoxalement, les arguments qui ont motivé leur retrait au profit de la grande distribution se trouvent aujourd’hui expressément repris au nom du développement, à savoir l’importance de la proximité sociale de l’échange commercial.
Étrange destin d’une structure d’échanges humains qui après avoir été évincée de l’intérêt collectif, trouve aujourd’hui ses fondements délaissés finalement porteurs d’avenir…
KWAN LAM
Le Petit Saint-Pierre, Sainte-Anne
Parlons un peu d'inventaire...
L’inventaire des patrimoines culturels à La Réunion s’effectue officiellement depuis près d’un demi-siècle (1976) et met en évidence les éléments les plus significatifs du territoire, selon des critères d’importance historique, esthétique, architecturale, sociétale et/ou mémorielle.
Le regard ainsi porté permet alors d’envisager une meilleure prise en compte par une connaissance fine du patrimoine culturel et de son évolution dans le temps et l’espace, à travers cinq activités majeures : le recensement, l’étude, la valorisation, l’expertise et la sauvegarde.
Épicerie de quartier souvent installée à un carrefour dans laquelle on trouve les produits de première nécessité — de la boite d’allumettes à la marmite en passant par la statuette d’un ti bondié — la Boutik chinois devient de plus en plus difficilement visible de loin dans le paysage réunionnais. Elle se reconnaît non seulement à travers son architecture traditionnelle avec toit en tôle ondulée, volets en bois et peintures murales aux couleurs vives, décorées de supports publicitaires, mais aussi à travers son concept culturel et social d’économie solidaire…
Au cours des différentes opérations d’inventaire de terrain, le regard porté aux Boutiks chinois a profondément évolué : d’un délaissement en 1976 (aucune notice répertoriée sur les 434 références identifiées), elles ont été intégrées aux « bâtiments traditionnels à usage commercial » recensés 22 ans plus tard et globalisées sous le vocable d’échoppe (boutik). Ainsi 300 boutiks ont pu être identifiées parmi les 450 commerces référencés à l’époque. L’inventaire ne précise pas alors combien de Boutik chinois figurent dans cet ensemble…
Cette année, en 2021, le service régional de l’inventaire lance un inventaire participatif thématique sur les Boutiks chinois, en partenariat avec la fédération des associations chinoises. Le regard des citoyens est désormais pris en compte dans la fabrication du patrimoine.
Depuis l’arrivée de la grande distribution sur l’île au début des années 1960 et plus particulièrement depuis les années 90, la disparition des Boutik Chinois est souvent évoquée et déplorée.
Paradoxalement, les arguments qui ont motivé leur retrait au profit de la grande distribution se trouvent aujourd’hui expressément repris au nom du développement, à savoir l’importance de la proximité sociale de l’échange commercial.
Étrange destin d’une structure d’échanges humains qui après avoir été évincée de l’intérêt collectif, trouve aujourd’hui ses fondements délaissés finalement porteurs d’avenir…
CHANE PANE
Centre-ville de Saint Denis
Parlons un peu d'inventaire...
L’inventaire des patrimoines culturels à La Réunion s’effectue officiellement depuis près d’un demi-siècle (1976) et met en évidence les éléments les plus significatifs du territoire, selon des critères d’importance historique, esthétique, architecturale, sociétale et/ou mémorielle.
Le regard ainsi porté permet alors d’envisager une meilleure prise en compte par une connaissance fine du patrimoine culturel et de son évolution dans le temps et l’espace, à travers cinq activités majeures : le recensement, l’étude, la valorisation, l’expertise et la sauvegarde.
Épicerie de quartier souvent installée à un carrefour dans laquelle on trouve les produits de première nécessité — de la boite d’allumettes à la marmite en passant par la statuette d’un ti bondié — la Boutik chinois devient de plus en plus difficilement visible de loin dans le paysage réunionnais. Elle se reconnaît non seulement à travers son architecture traditionnelle avec toit en tôle ondulée, volets en bois et peintures murales aux couleurs vives, décorées de supports publicitaires, mais aussi à travers son concept culturel et social d’économie solidaire…
Au cours des différentes opérations d’inventaire de terrain, le regard porté aux Boutiks chinois a profondément évolué : d’un délaissement en 1976 (aucune notice répertoriée sur les 434 références identifiées), elles ont été intégrées aux « bâtiments traditionnels à usage commercial » recensés 22 ans plus tard et globalisées sous le vocable d’échoppe (boutik). Ainsi 300 boutiks ont pu être identifiées parmi les 450 commerces référencés à l’époque. L’inventaire ne précise pas alors combien de Boutik chinois figurent dans cet ensemble…
Cette année, en 2021, le service régional de l’inventaire lance un inventaire participatif thématique sur les Boutiks chinois, en partenariat avec la fédération des associations chinoises. Le regard des citoyens est désormais pris en compte dans la fabrication du patrimoine.
Depuis l’arrivée de la grande distribution sur l’île au début des années 1960 et plus particulièrement depuis les années 90, la disparition des Boutik Chinois est souvent évoquée et déplorée.
Paradoxalement, les arguments qui ont motivé leur retrait au profit de la grande distribution se trouvent aujourd’hui expressément repris au nom du développement, à savoir l’importance de la proximité sociale de l’échange commercial.
Étrange destin d’une structure d’échanges humains qui après avoir été évincée de l’intérêt collectif, trouve aujourd’hui ses fondements délaissés finalement porteurs d’avenir…
DEVENEZ ACTEUR
de l'inventaire à La Réunion !
Le travail d’inventaire permet de répertorier, d'étudier, de valoriser, d'expertiser et de sauvegarder le patrimoine culturel matériel et immatériel.
Vous aussi, participez à l’inventaire de ces boutik chinois à travers l'ensemble de l'île, en nous aidant à les répertorier sur l'application mobile Input.
Pour collaborer :
1 - Créez un compte Mergin en cliquant sur le bouton ci-dessus
2 - Téléchargez Input sur Android ou IOS au moyen des boutons ci-dessus
3 - Envoyez-nous votre nom d'utilisateur Mergin en cliquant sur le bouton ci-contre, afin que nous puissions vous donner accès aux données de recensement partagées via l'application Input.
4 - Une fois que nous aurons validé votre demande d'accès, le dossier "/jfrebey/210516_Boutiques-Chinois" apparaîtra automatiquement dans l'onglet "My Projects" de l'application Input. Téléchargez ce dossier sur votre appareil.
5 - Téléchargez le guide d'utilisation complet au moyen du bouton ci-contre, et prenez connaissance de la procédure à suivre afin recenser votre première boutique.
Animer, programmer :
Cette séquence englobe le calendrier d’ouverture de l’exposition aux publics (fin septembre – fin octobre 2021) avec un programme d’activités culturelles en concertation étroite avec la Fédération des associations chinoises de La Réunion.
Patrimoine culturel immatériel :
Rêves (Recenser, étudier, valoriser, expertiser, sauvegarder)
Destinée à immerger le visiteur dans l’univers de l’Inventaire et ses pratiques, cette partie de l’exposition montre comment les Boutiques chinois entrent dans la sphère patrimoniale.
Trois aspects sont particulièrement évoqués : La reconnaissance historique effectuée par les experts institutionnels et professionnels ; l’appropriation citoyenne actuelle par la communauté réunionnaise d’origine chinoise, ainsi que la mise en évidence des traces intangibles encore en vigueur des pratiques sociales et culturelles associées à la Boutik chinois.
Immersion :
Reconstituer, scénographier
Particulièrement identifiées par la population comme des lieux de proximité toujours ouverts où l’on trouve de tout, et où on peut encore payer à crédit, les Boutik chinois marquent le paysage rural et urbain de manière unique : aux abords des sites sucriers lorsqu’ils étaient encore en usage et à la croisée de chemins et/ou de rues afin de gagner en visibilité.
Cette séquence reconstitue en trompe l’œil, sous la varangue de la maison Foucque, un intérieur de boutique, en mettant l’accent sur la description visuelle interactive et en 3D de certaines boutiques emblématiques du territoire (Nord, Sud, Est, Ouest, Cirques) ainsi que sur la présentation d’une sélection d’objets faisant partie de la collection de la Fédération des associations chinoises.
Animer, programmer :
Cette séquence englobe le calendrier d’ouverture de l’exposition aux publics (fin septembre – fin octobre 2021) avec un programme d’activités culturelles en concertation étroite avec la Fédération des associations chinoises de La Réunion.
Un peu d'humilité :
Le SRI n'est pas le seul à avoir travaillé sur les boutik chinois. Cette séquence présente le regard d'autres organismes publics ou privés dont une une exposition réalisée par le CAUE en 2018 ainsi qu'une vidéo de 2008 de Bernard Joseph.
Un peu d'humilité :
Le SRI n'est pas le seul à avoir travaillé sur les boutik chinois. Cette séquence présente le regard d'autres organismes publics ou privés dont une une exposition réalisée par le CAUE en 2018 ainsi qu'une vidéo de 2008 de Bernard Joseph.
Patrimoine culturel immatériel :
Rêves (Recenser, étudier, valoriser, expertiser, sauvegarder)
Destinée à immerger le visiteur dans l’univers de l’Inventaire et ses pratiques, cette partie de l’exposition montre comment les Boutiques chinois entrent dans la sphère patrimoniale.
Trois aspects sont particulièrement évoqués : La reconnaissance historique effectuée par les experts institutionnels et professionnels ; l’appropriation citoyenne actuelle par la communauté réunionnaise d’origine chinoise, ainsi que la mise en évidence des traces intangibles encore en vigueur des pratiques sociales et culturelles associées à la Boutik chinois.
Animer, programmer :
Cette séquence englobe le calendrier d’ouverture de l’exposition aux publics (fin septembre – fin octobre 2021) avec un programme d’activités culturelles en concertation étroite avec la Fédération des associations chinoises de La Réunion.
Un peu d'histoire :
Contextualiser, environner
Classiquement utilisée pour mieux faire comprendre aux visiteurs les particularités de telle ou telle raison, motivation ou justification, la contextualisation du concept des Boutik chinois, tel que présenté dans l’exposition, aborde plusieurs aspects :
- historiques, avec l’évolution de la communauté chinoise dans l’histoire de La Réunion ;
- sociologiques, avec la place des Boutiques chinois dans l’appareil économique et social de l’île ;
- iconographique, avec des portfolios montrant extérieurs et intérieurs de boutiques d’hier et d’aujourd’hui et portraits de boutiquiers et des reportages vidéos sous forme d’interviews
Animer, programmer :
Cette séquence englobe le calendrier d’ouverture de l’exposition aux publics (fin septembre – fin octobre 2021) avec un programme d’activités culturelles en concertation étroite avec la Fédération des associations chinoises de La Réunion.
Animer, programmer :
Cette séquence englobe le calendrier d’ouverture de l’exposition aux publics (fin septembre – fin octobre 2021) avec un programme d’activités culturelles en concertation étroite avec la Fédération des associations chinoises de La Réunion.
Patrimoine culturel immatériel :
Rêves (Recenser, étudier, valoriser, expertiser, sauvegarder)
Destinée à immerger le visiteur dans l’univers de l’Inventaire et ses pratiques, cette partie de l’exposition montre comment les Boutiques chinois entrent dans la sphère patrimoniale.
Trois aspects sont particulièrement évoqués : La reconnaissance historique effectuée par les experts institutionnels et professionnels ; l’appropriation citoyenne actuelle par la communauté réunionnaise d’origine chinoise, ainsi que la mise en évidence des traces intangibles encore en vigueur des pratiques sociales et culturelles associées à la Boutik chinois.
Patrimoine culturel immatériel :
Rêves (Recenser, étudier, valoriser, expertiser, sauvegarder)
Destinée à immerger le visiteur dans l’univers de l’Inventaire et ses pratiques, cette partie de l’exposition montre comment les Boutiques chinois entrent dans la sphère patrimoniale.
Trois aspects sont particulièrement évoqués : La reconnaissance historique effectuée par les experts institutionnels et professionnels ; l’appropriation citoyenne actuelle par la communauté réunionnaise d’origine chinoise, ainsi que la mise en évidence des traces intangibles encore en vigueur des pratiques sociales et culturelles associées à la Boutik chinois.
Patrimoine culturel immatériel :
Rêves (Recenser, étudier, valoriser, expertiser, sauvegarder)
Destinée à immerger le visiteur dans l’univers de l’Inventaire et ses pratiques, cette partie de l’exposition montre comment les Boutiques chinois entrent dans la sphère patrimoniale.
Trois aspects sont particulièrement évoqués : La reconnaissance historique effectuée par les experts institutionnels et professionnels ; l’appropriation citoyenne actuelle par la communauté réunionnaise d’origine chinoise, ainsi que la mise en évidence des traces intangibles encore en vigueur des pratiques sociales et culturelles associées à la Boutik chinois.